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Existe-t-il des différences de protocoles entre les USI et les USI ?

“Oui, mais c’était le cas avant même le virus. Pour évacuer une unité de soins intensifs de 14 personnes, il faut en moyenne 45 minutes. Le temps qu’il faut pour « écraser » les gens et déconnecter les machines.

Et une raison principale dans ce cas, comme un médecin de guerre, commence à sécuriser les personnes ayant une espérance de vie plus longue. Dans certains hôpitaux romains, nous avons donc utilisé une procédure différente, le “bunkering” des soins intensifs, car nous sommes arrivés à la conclusion qu’avec des temps d’évacuation limités, il est préférable de mettre une zone dans les meilleures conditions, en éliminant tous les risques d’incendie possibles pour s’approcher à “risque zéro”.

De cette façon, avec le soi-disant “filtre anti-fumée”, il est difficile qu’un incendie qui s’est déclaré à l’extérieur atteigne les soins intensifs.

Avec l’urgence sanitaire, nous avons dû mettre en place des procédures “tampon” car l’un des plus grands risques dans les hôpitaux est l’oxygène dont l’administration a considérablement augmenté ces derniers mois.

Il existe une profonde différence entre un processus de combustion normal dans l’air et un processus enrichi en oxygène, un élément capable de casser n’importe quelle plage d’inflammabilité. Dans ces cas, des procédures beaucoup plus minutieuses sont nécessaires ».

Comment les structures de la Lazio ont-elles réagi ?

«Eh bien, du moins dans ceux avec qui je travaille, tout va bien.

  • Nous avons bénéficié du bon travail de prévention effectué auparavant, considérant que dans certaines structures nous réalisons des tests d’évacuation même après quelques mois.
  • Dans de nombreux cas, la présence de pompiers privés (en nombre croissant selon la complexité de l’ouvrage) est importante.

Ce sont des équipes qui permettent d’organiser la prévention, proposant également une aide pour les tâches qui ne sont pas les leurs. Compte tenu de l’état de certains ouvrages, il n’est pas toujours facile de garantir la sécurité ».

Zone critique : l’infirmier est la figure centrale de l’assistance

Infirmière en zone critique, centre de soins

Le domaine critique se caractérise par la complexité et la rapidité des interventions visant à soutenir les fonctions vitales de l’individu en situation clinique précaire. En fait, le patient gravement malade a des conditions telles qu’elles compromettent sa survie à court et moyen terme ; il est dans une situation d’instabilité clinique qui nécessite une forte intensité de soins, une surveillance continue et l’utilisation de procédures invasives qui permettent d’établir lisation.

Pour cela, il est nécessaire de mettre en œuvre en temps opportun des réponses d’assistance intensives et continues.

Ces critères d’action sont nécessaires non seulement pour assurer la survie de la personne, mais aussi pour éviter l’apparition de complications tardives et, ainsi, tendre vers la meilleure qualité de vie résiduelle possible. pour le patient.

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